Lire un extrait de : Les vacances érotiques de Solange première partie : petite mise en jambe

17/11/2013 13:22

Une publicité mensongère
ou prometteuse – Premier contact

Je m’appelle Solange, ma vie était jusqu’à ces derniers mois tout à fait banale voire routinière. Je suis secrétaire médicale, divorcée, sans enfant, je suis une femme libre si l’on peut dire. Je mesure un mètre soixante dix centimètres pour un poids de soixante deux kilogrammes. J’ai quelques petites rondeurs à des endroits que les hommes apprécient. Je suis une jolie brune aux yeux noisette. Je vis en proche banlieue parisienne. J’ai quelques amis de longue date, de vagues connaissances pour une durée éphémère et un amant régulier, Vincent. Il est commercial, marié et peut parfois se libérer, environ deux nuits par mois. Tout ceci ne suffit plus à me contenter, il me faut autre chose, je ne sais pas encore exactement quoi, mais je sens que je perds mon temps. Après de multiples recherches de nouvelles relations sur le net qui aboutirent à quelques plans douteux mais qui ne conduisirent à rien de bien intéressant, je tombai par hasard le mardi 8 janvier 2009 en soirée sur une annonce à caractère commercial qui attira mon attention dès la première lecture :

MAÎTRESSE PARTICULIEREMENT SEVERE ET EXIGENTE AIDEE DE SON EQUIPE MOTIVEE ORGANISE VOS PROCHAINES VACANCES. VOTRE LIEU DE VILLEGIATURE AURA POUR DOUX NOM « A LA BOURGEOISE TOURMENTEE ». DEPART PARIS OU LYON LE VENDREDI SOIR RETOUR PARIS OU LYON LE SAMEDI SUIVANT. DEUX MILLE EUROS TOUT COMPRIS, TRANSPORT, LOGEMENT, NOURRITURE, NOMBREUSES ACTIVITEES NON PAS PROPOSEES MAIS IMPOSEES. RESERVATION POSSIBLE UNIQUEMENT POUR UNE FEMME SEULE ET EXCLUSIVEMENT APRES LA REUSSITE AUX DEUX EPREUVES D’EVALUATION. POUR LA PREMIERE EPREUVE VOUS AVEZ LE DROIT A DEUX TENTATVES PAR ANNEE CIVILE. POUR LA DEUXIEME EPREUVE VOUS N’AVEZ LE DROIT QU’A UNE TENTATIVE PAR ANNEE CIVILE.

L’annonce était suivie des consignes suivantes : Pour prendre contact et espérer une éventuelle réponse, il vous faudra envoyer une lettre simple (non recommandée et non suivie) de motivation manuscrite particulièrement bien rédigée et sans faute d’orthographe à la société EUROLOISIRS à l’attention de Madame la Directrice. Le temps de Madame la Directrice étant extrêmement précieux vous joindrez un chèque de vingt euros à l’ordre de la société EUROLOISIRS pour couvrir les frais de création de votre dossier de préinscription ainsi qu’un numéro de téléphone fixe où Madame la Directrice pourra vous contacter de 20 h 00 à 22 h 00 et ceci m’importe quel jour à partir de l’envoi de la lettre de motivation accompagnée du chèque de vingt euros. Madame la Directrice ne procédera qu’à un seul appel téléphonique à votre attention et n’attendra que le temps de cinq sonneries. Vous devrez avoir à côté de votre téléphone un cahier et un stylo à bille noir afin que Madame la Directrice puisse vous dicter ses instructions. A partir de maintenant vous laisserez pousser vos cheveux afin de pouvoir les attacher en queue de cheval quand Madame la Directrice vous le demandera. Il vous est strictement interdit de vous faire couper les cheveux dans un salon de coiffure ou de les couper par vous même. De plus vous joindrez à votre lettre les trois photographies suivantes de vous dans une de vos tenues de travail ou dans une tenue que vous portez habituellement si vous ne travaillez pas :

– Votre visage de face,

– Votre visage de profil,

– Vous debout.

Après les instructions figuraient le numéro siret de la société EUROLOISIRS et son adresse. Je m’habillai avec la tenue que je porterais le lendemain au cabinet médical : Soutien-gorge et culotte rouges, collant marron foncé opaque, chemisier vert court, jupe à carreaux verte et courte mais non vulgaire ainsi que mes escarpins noirs à talons hauts, à brides et à bouts ronds. Je disposais d’un appareil photographique numérique doté d’un retardateur et d’un pied, je pris donc sans tarder trois photographies de moi dans ma cuisine, l’une de mon visage de face, l’autre de mon visage de profil et la dernière de moi debout.

J’ai senti immédiatement, je ne sais pas exactement pour quelle raison, que je devais tenter ma chance. Je devais m’atteler à la rédaction d’une lettre de motivation et tout au plus si je n’étais pas retenue, j’aurais perdu vingt euros. Mais les vingt euros n’étaient déjà plus la question, la lecture de cette annonce m’avait déjà procuré du plaisir pour plus de vingt euros, ma petite culotte était littéralement trempée. Je me mis immédiatement à rédiger un brouillon, je savais que je n’aurais qu’une seule chance, il fallait prendre cette fameuse Directrice dans mon filet, l’obliger à finir la lecture de ma lettre puis l’inciter à me contacter. Je rédigeai dès cette première nuit cinq lettres de motivation, toutes bien tournées, sans faute d’orthographe mais aucune ne serait susceptible selon moi de me permettre de capturer l’attention de Madame la Directrice. Je ne voyais pas le temps passer, à cinq heures du matin je n’avais pas encore fermé l’œil de la nuit. Je pris une douche et me préparai pour ma journée de travail. Cette garce de Directrice était diablement efficace, je ne la connaissais pas encore, je ne l’entendrais et ne la verrais peut-être jamais et elle m’avait déjà fait passer une nuit blanche ! Autant vous dire que ma journée de travail le lendemain de la lecture de cette annonce fût des plus ternes, je n’avais plus qu’une hâte, regagner mon domicile et rédiger cette fichue lettre de motivation. Après un repas rapide, je commençai cette redoutable lettre de motivation. Je décidai rapidement les grandes lignes qui devaient guider la rédaction de ma lettre de motivation : jouer franc jeu avec Madame la Directrice et ne pas tourner autour du pot, en effet l’annonce précisait que son temps était précieux ; décrire ma vie actuelle à Madame la Directrice et mon désir de connaître de nouvelles sensations, de nouvelles contraintes, de nouvelles situations ; faire comprendre à Madame la Directrice qui semble assez vénale mais sans la vexer que je serais prête à tous les sacrifices dans la limite de mes moyens financiers pour participer à un séjour organisé par ses soins à l’occasion de mes prochaines vacances ; indiquer à Madame la Directrice qu’elle pourrait librement choisir la date de mes épreuves et de mon séjour. Après plusieurs projets qui me tinrent en éveil jusqu’au bout de la nuit, la lettre suivante fût achevée peu avant l’aube :

Madame NOM Solange

WWWWW le 9 janvier 2009

ADRESSE

TELEPHONE FIXE

Madame la Directrice,

J’ai rédigé cette lettre avec franchise et concision pour vous présenter mes attentes sans vous faire perdre inutilement votre temps si précieux. Je suis actuellement une femme libre, divorcée depuis un peu plus de trois ans, sans enfant. J’ai un amant régulier, un commercial qui peut se libérer environ deux nuits par mois et quelques relations toujours éphémères. Je suis secrétaire médicale, j’ai gardé de très bonnes relations avec l’agence d’intérim qui m’a fait travailler la première fois dans le cabinet où je suis actuellement employée, cette agence met régulièrement une secrétaire médicale à la disposition du cabinet pendant mes absences. Ceci me permettrait de me libérer à une date à votre convenance pour des épreuves et un séjour éventuel. Je désire vivement connaître de nouvelles expériences sexuelles, de nouvelles sensations, de nouvelles contraintes, de nouveaux défis, de nouvelles situations. En bref je ne veux pas passer à côté de nouvelles possibilités de relancer ma vie qui me semble bien monotone voire routinière. Bien que ne disposant pas d’une situation financière très aisée, je suis capable de tous les efforts nécessaires pour atteindre les buts que je me fixe. L’épargne de la somme indispensable à l’inscription à un séjour éventuel pendant mes prochaines vacances me semble un challenge très intéressant et très motivant.

Dans l’attente de vous entendre, je vous prie de bien vouloir agréer, Madame la Directrice, mes salutations les plus respectueuses.

Solange

J’introduisis la lettre dans une enveloppe ainsi que les trois photographies de moi dans une de mes tenues de secrétaire prises dans ma cuisine. Sur l’enveloppe j’avais préalablement recopié l’adresse de la société EUROLOISIRS et porté la mention « à l’attention de Madame la Directrice ». Après avoir été préparé, le chèque de vingt euros fût joint à la lettre non sans avoir été vérifié deux fois tant pour la rédaction que pour la signature. Le temps de prendre une douche et d’avaler un bon petit déjeuner et je devais déjà quitter mon domicile pour rejoindre le cabinet. Décidément cette Directrice infernale venait de me faire passer une deuxième nuit blanche consécutive, j’allais être dans un bel état au travail ! Je pris cependant le temps de faire un crochet sur mon trajet pour déposer dans une boîte jaune accolée à un bureau de poste la précieuse missive qui m’avait déjà coutée vingt euros et deux nuits blanches. Je priais intérieurement pour qu’elle ne soit pas retardée par une grève des postiers ou pire encore perdue.

Je n’avais pas encore réalisé à ce moment qu’à partir de l’envoi de la lettre de motivation à l’attention de Madame la Directrice je n’aurais plus une soirée à moi. Je pris conscience du problème le lendemain après-midi, le jeudi 10 janvier 2009 quand Vincent me contacta par téléphone sur mon lieu de travail. Il me proposait pour le soir même un petit restaurant, un ciné puis une fin de soirée et une nuit romantique chez moi. Je dus inventer, prise au dépourvu, un prétexte des plus stupides et des plus invraisemblables pour refuser sa proposition et la reporter à plus tard. En effet je voulais être seule chez moi de 20 h 00 à 22 h 00. Je pris conscience à cette occasion que je menais déjà de fait une double vie. Ma vie normale en journée et ma vie sous l’emprise totale de Madame la Directrice de 20 h 00 à 22 h 00. C’était effectivement le début de l’enfer. Ma tension nerveuse et mon angoisse augmentaient chaque jour à l’approche de 20 h 00 et ne diminuaient qu’après 22 h 00. Je devais être prête et totalement disponible pour noter les instructions de Madame la Directrice dans les moindres détails, y compris ses intonations qui pourraient m’aider dans la réussite aux deux épreuves, j’en étais convaincue. Je devais aussi pendant cet unique entretien téléphonique faire très bonne impression à Madame la Directrice. J’étais aussi persuadée que les épreuves n’étaient qu’un prétexte et qu’elle tenait à choisir habilement les candidates à un séjour à l’aide de sa ruse. Pendant plus de deux mois me vie devînt un véritable enfer. Je n’avais plus aucun contact en dehors de ma vie professionnelle, et j’étais terriblement angoissée chaque soirée pendant la période fatidique.

Un peu plus d’une semaine après l’envoi de ma lettre de motivation, le jeudi 17 janvier 2009, vers 20 h 30 alors que je surfais pour occuper ma soirée, mon téléphone sonna. Dès que j’eus le combiné en main, une voix très sure d’elle m’annonça : « Je suis Madame la Directrice, je dirige l’établissement de dressage “à la bourgeoise tourmentée”, ne dis pas un mot Solange et bois mes paroles. A partir de maintenant tes cheveux et tous tes poils m’appartiennent, il t’est strictement interdit de te faire couper les cheveux ou de te raser Solange, y compris la chatte, le cul, et sous les bras. Mets ta tenue de secrétaire et transmets-moi immédiatement par mail un gros plan de des seins après avoir retiré ton chemisier et ton soutien-gorge ainsi qu’un gros plan de ta chatte après avoir retiré ta jupe, ton collant et ta culotte. Tu as dix minutes pas une seconde de plus. » Après un silence elle termina l’entretien : « Mon adresse mail est : xxxxxxxxxx@euroloisirs.com ; attends mes autres instructions sans prendre d’initiatives et sans me contacter. » Je ne disposais que de dix minutes ! Je pris donc rapidement les photographies exigées par Madame la Directrice, je ne voulais pas la décevoir dès ce premier contact et perdre toutes mes chances de participer à un séjour, qui je le sentais serait inoubliable pendant mes vacances. Je lui transmis ensuite par mail les deux photographies quelques secondes avant la fin des dix minutes. Respectant les instructions de Madame la Directrice je ne pris aucune initiative et ne lui adressai aucun mail.

 

Deuxième contact plus musclé – Préparation pour la première épreuve

Un vendredi soir, le 21 mars 2009, alors que je somnolais tout en étant angoissée le téléphone sonna. Je lus machinalement l’heure sur ma montre : 21 h 58 et me précipitai pour prendre la communication avant la cinquième sonnerie, en fait j’étais à l’écoute dès la troisième sonnerie. Deux très longues et inquiétantes minutes s’écoulèrent avant que je ne perçoive une respiration, la respiration de Madame la Directrice, j’en étais certaine. Je n’osais rien dire et attendais bêtement. Une voix autoritaire s’exprima ainsi : « As-tu les cheveux assez long pour tresser une natte même petite ou les fixer en queue de cheval Solange ? » Je répondis spontanément : « Oui je peux me faire une petite queue de cheval. » Après un silence la voix continua : « Ce n’est pas la bonne réponse Solange, la bonne réponse était oui je peux me faire une petite queue de cheval Madame la Directrice ; tu mérites une punition Solange. » Après un nouveau silence la voix annonça : « Mets immédiatement la tenue de secrétaire que tu avais sur les photographies que tu m’as envoyées, puis prends sur le champ des photographies de ton visage de face et de profil et une photographie debout et transmets les moi demain par mail, j’exige de voir ta queue de cheval. » Je mis sans tarder ma tenue de secrétaire et pris trois photographies de moi avec la queue de cheval qui avait poussée depuis ma première lecture de l’annonce.

J’annonçai alors à Madame la Directrice que les photographies étaient prises, celle-ci poursuivit : « As-tu un objet pour te punir par exemple un martinet, une matraque, un fouet ou une cravache Solange ? » Cette fois, bien que tendue, je répondis : « Non Madame la Directrice. » La voix poursuivit : « Le ton est plus respectueux Solange, je constate que tu fais de rapides progrès. As-tu un instrument pour te récompenser par exemple un godemiché, un vibromasseur, un bras de fisting ou des boules de geisha Solange ? » De plus en plus angoissée je répondis cependant : « Non Madame la Directrice. » Après un bref silence et semblant contrariée, la voix demanda : « As-tu des escarpins avec une semelle solide Solange ? » Pour une fois que j’avais ce qui pourrait satisfaire Madame la Directrice et voulant à tout prix lui faire bonne impression je répondis : « Oui j’ai des escarpins ayant une semelle solide Madame la Directrice, ceux que je porte actuellement avec ma tenue de secrétaire. » Elle me demanda alors : « As-tu une grosse carotte, ou une banane ou un épi de maïs ou encore un concombre Solange ? » Effrayée je répondis cependant : « Oui j’ai une banane Madame la Directrice. » La voix rassurée m’indiqua : « Je vais pouvoir te punir à distance pour ton manque de respect envers ta Directrice Solange. Mets-toi par terre dans ta cuisine à quatre pattes en tenue de secrétaire. Prends une photographie. Enlève ta jupe verte à carreaux, ton collant marron et ta culotte rouge et prends une nouvelle photographie. »

Je fis tout ce que Madame la Directrice me demanda et la prévins après avoir pris les photographies. Elle ajouta alors : « Retire tes escarpins ayant une semelle solide et prends une photographie de toi à quatre pattes. Tu vas maintenant te claquer le cul trente fois avec la semelle d’un de tes escarpins, je veux entendre les trente claquements au téléphone. » Je retirai mes escarpins et pris une photographie de moi à quatre pattes. Bien que complètement décontenancée je pris en main un de mes escarpins solides. Je posai alors le téléphone sur une chaise à côté de moi à quatre pattes. Je restai immobile, hésitante, sans rien faire. La voix d’un ton autoritaire et sans appel m’indiqua : « Si tu veux vraiment faire un séjour dans l’établissement “à la bourgeoise tourmentée” tu vas devoir t’administrer immédiatement et de toutes tes forces non pas trente mais cinquante coups d’escarpin Solange, maintenant, je veux les entendre claquer sur ton cul. » Instinctivement je me ressaisis et frappai mon cul violemment de cinquante coups d’escarpin.

A peine avais-je terminé que la voix précisa : « Prends immédiatement une photographie de ton cul rougi à quatre pattes Solange. Quel doux bruit à mes oreilles que ces claquements sur ton cul, tu mérites maintenant une petite récompense Solange. » La voix annonça alors : « Remets tes escarpins et enfonce toi la banane profondément dans la bouche et la gorge, tourne la banane et fais des va-et-vient tu feras ensuite de même dans ton vagin jusqu’à ce que la banane soit terriblement mouillée. Prends une photographie pendant que tu te défonceras le fond de la gorge puis une autre quand tu te défonceras le fond du vagin Solange. Je sais que tu mouilles déjà, après cinquante coups d’escarpin tu dois être mouillée comme une fontaine Solange. » Terrassée mais sous l’influence de cette terrible voix je pris la banane dans la corbeille à fruits et me l’enfonçai au fond de la bouche et de la gorge, la fis tourner dans tous les sens et commençai les va-et-vient. Je poursuivis en visitant mon vagin avec ce fruit déjà bien humide sans oublier de prendre les photographies exigées.

J’étais dans un état d’excitation extrême. Madame la Directrice l’entendit au bruit de mes râles et continua : « Finis-toi en te défonçant le cul profondément avec la banane et en t’écrasant et te pinçant fortement le clitoris Solange. Tu prendras bien entendu des photographies de cette petite scène érotique Solange. » Je m’écrasai et me pinçai aussitôt le clitoris tout en me défonçant copieusement le cul avec la banane. La prise des photographies augmenta encore si cela était toujours possible mon état d’excitation. Très rapidement un orgasme monstrueux et très bruyant me laissa totalement anéantie.

Sans me laisser le temps de reprendre mes esprits, Madame la Directrice m’ordonna : « Prends ton cahier et ton stylo à bille noir et note précisément mes instructions Solange. Ce sont les instructions pour ta première épreuve. » A peine cinq secondes plus tard elle me dictait : « A partir de maintenant tu n’es plus Solange mais la soumise Natacha. Tes cheveux et tes poils, y compris les poils de ton cul et de ta chatte m’appartiennent soumise Natacha, ne l’oublie jamais ! Demain, samedi si tu n’en as pas encore, tu iras acheter un scanner, une webcam, ton sextoy préféré et ton instrument de punition préféré. Tu te familiariseras ensuite très rapidement avec l’utilisation du scanner et de la webcam. » Quelques secondes plus tard elle continua : « Tu rédigeras ensuite une lettre de motivation à mon attention où tu m’expliqueras les raisons qui te conduisent à demander ton transfert de l’établissement de dressage situé en région parisienne où tu séjournes actuellement pour une durée de six mois suite à la demande de ton amant qui a découvert que tu te livrais au racolage actif, vers l’établissement de dressage que je dirige dans une ville pittoresque de province surnommé par les soumises qui y ont séjourné “à la bourgeoise tourmentée”. Tu sais par une soumise qui y a séjourné que les conditions de séjour y sont très difficiles et que le règlement y est très strict. Tu sais également que tout manquement au règlement de cet établissement est puni d’un châtiment corporel et d’une humiliation. La soumise en question n’est pas très loquace, elle craint visiblement des représailles voir d’y retourner si elle parle trop de cet établissement. Tu signeras ta lettre par “soumise Natacha”. » Enfin elle termina ce premier entretien par : « Tu me feras parvenir par mail ta lettre de motivation et les fichiers rattachés suivants : toutes les photographies que tu as prises ce soir ainsi que d’une part la copie scannée recto et verso de ta carte d’identité et d’autre part un film réalisé à l’aide de ta webcam où on pourra te voir te corriger sévèrement avec ton instrument de punition préféré et constater la pousse des poils de ta chatte depuis deux mois soumise Natacha. Puisqu’avec la webcam je ne pourrai pas profiter du bruit des claquements sur ton corps et de tes gémissements sous les coups, je veux voir les traces des impacts pendant ta correction et en gros plan après la fin de ta correction. Enfin tu rattacheras aussi un film réalisé à l’aide de ta webcam où on pourra te voir te donner du plaisir avec ton sextoy préféré et où l’on devinera, en te voyant te tordre de plaisir dans tous les sens, les bruits émis par ton vagin et ton cul. J’exige d’avoir le mail et tous les fichiers rattachés sur mon bureau demain soir à 22 h00. Ces films et photographies seront stockés dans ton dossier de candidature sur un DVD avec tous tes mails et tous mes mails à venir et ne seront consultables uniquement que par moi même. Si ta lettre de motivation ainsi que tes photographies et les deux films joints me satisfont je te ferai parvenir mes instructions pour la deuxième épreuve par mail. » Ce furent les dernières paroles que j’entendis, elle raccrocha sans dire un mot de plus.

J’étais abasourdie. Je savais cependant que c’était là ma seule et unique chance, j’avais déjà franchi plusieurs obstacles. Madame la Directrice avait visiblement reçu ma lettre et celle-ci avait retenu son attention car elle m’avait contactée. Les photographies de mes seins et de ma chatte l’avaient émoustillée car deux mois plus tard elle m’avait recontactée. Je pensais également avoir surmonté la difficulté du deuxième entretien téléphonique car Madame la Directrice s’était réjouie des claquements de mon escarpin solide sur mon cul, en effet elle m’avait récompensée par la suite. Enfin elle m’avait communiqué, certes rapidement et brutalement, ses instructions pour la première épreuve d’évaluation. Je devais impérativement dormir afin de reprendre quelques forces pour m’attaquer dès le lendemain matin à la première épreuve d’évaluation et tenter de la réussir brillamment. Cette nuit fût cependant fort agitée. Moi qui dors habituellement sur le dos, je ne trouvais pas de position confortable avec mon postérieur endolori suite aux cinquante coups d’escarpin que je m’étais moi-même administrée sous les ordres de Madame la Directrice pour mon manque de respect envers elle. Je finis cependant par essayer de dormir allongée sur le ventre. Mes pensées revenaient sans cesse en boucle : Quel instrument de punition vais-je acheter demain, où vais-je le trouver ? Quel objet de plaisir vais-je acheter demain, où vais-je le trouver ? Je dormis en fait très peu et très mal mais pendant l’une de mes périodes de veille je trouvai la force de positionner mon radio-réveil sur la position alarme ce que je n’aurais jamais fait une fin de semaine normale, mon réveil naturel le week-end étant pour moi sacré.

Après un petit déjeuner réparateur, je devais prendre ma première décision : Quel était mon instrument de punition préféré ? En faite ce serait celui que j’oserais acheter et dont l’utilisation ne serait pas trop douloureuse. J’éliminai rapidement la cravache, j’avais contre cet instrument un à priori défavorable, ce matériel destiné normalement à l’équitation devait avoir selon moi un prix élevé et je n’aurais jamais le courage de l’utiliser sur mon propre corps. La matraque fût elle aussi éliminée, je ne voyais vraiment pas où en acheter une et me voyais encore moins l’utiliser. Quant au fouet, je n’osais même pas imaginer où je pourrais en trouver un, ne parlons donc pas de son utilisation. Il ne restait que le martinet. On devait pouvoir en trouver selon moi dans une animalerie ou dans le rayon dédié à la nourriture et au matériel pour animaux de compagnie dans un hypermarché. Ma décision était prise j’irais acheter un martinet dans mon hypermarché habituel ou si je n’en trouvais pas dans une animalerie. Par la même occasion je ferais l’acquisition d’un scanner et d’une webcam. La deuxième décision était beaucoup plus délicate : Quel était mon instrument de plaisir préféré ? Je devais tout d’abord trouver le courage d’une part de pénétrer dans un sex-shop chose que je n’avais jamais faite de ma vie et d’autre part d’oser prendre en main l’instrument en question. Ma décision était prise, mes cheveux étant brun, pour ne pas être reconnue, moi qui ne porte que très rarement une robe je mettrais donc une robe, des lunettes de soleil très couvrantes et une perruque blonde. Je cherchai et trouvai dans mes affaires une robe rouge qui me convenait, les lunettes de soleil et la perruque. Pour immortaliser ce moment excitant, je pris quelques photographies de mon déguisement. Il fallait maintenant choisir l’instrument de plaisir. J’éliminai en premier le bras de fisting, je n’oserais jamais toucher cet objet dans le sex-shop et encore moins l’utiliser. Je rejetai ensuite les boules de geisha puis le vibromasseur, je ne me sentais pas le courage de les acheter dans un sex-shop. Il ne restait plus qu’un godemiché. Ma décision était prise j’oserais entrer, certes déguisée, dans un sex-shop et je me procurerais un godemiché. Avant de partir je notai dans mon agenda l’adresse précise de deux animaleries et de trois sex-shops. Je décidai d’acheter le matériel informatique et le martinet en matinée puis de me déguiser et de visiter pour la première fois de ma vie un sex-shop dans l’après-midi. Je prendrais l’après-midi pour transporter mes achats et mon déguisement, un sac de sport que je pourrais porter à l’épaule. Pour l’achat dans le sex-shop je prendrais du liquide ne souhaitant pas laisser un chèque avec mon adresse dans ce commerce ou une trace de cet achat sur mes relevés de carte bancaire.

Dans mon hypermarché habituel, l’achat des provisions et des consommables nécessaires pour la semaine ne me pris que peu de temps. L’achat du scanner et de la webcam ne me pris que quelques minutes supplémentaires. L’achat d’un martinet était déjà une autre paire de manche. Il me fallut dans un premier temps trois passages dans le rayon dédié aux animaux de compagnie l’air de rien mais scrutant attentivement les accessoires pour animaux avant de pouvoir observer un court instant l’objet de ma recherche mais sans ralentir et en poursuivant mon chemin. Je savais maintenant où étaient accrochés les martinets. Je devais prendre sur moi pour attraper un martinet et le déposer dans mon chariot. J’avais fait une erreur, dans mon hypermarché habituel je pouvais à tout moment rencontrer une connaissance. Il aurait été plus prudent d’aller dans un hypermarché d’une autre commune que je ne fréquente jamais. J’avais une peur bleue de rencontrer une amie ou une voisine qui pourrait dire à haute voix : « J’ignorais que tu avais un jeune animal à dresser Solange, tu nous fais des cachotteries. » Dès que le martinet fut dans mon chariot je me dirigeai rapidement vers une caisse pour sortir au plus vite de l’hypermarché. Dans la file d’attente en caisse j’avais des bouffées de chaleur. J’avais maintenant peur qu’un inconnu sans gêne me dise : « Si vous en avez envie Madame, je peux vous montrer comment l’on utilise un martinet sur une femme en chaleur, ou tout autre chose du même mauvais goût. » Je ne fus tranquille qu’une fois sortie de l’hypermarché et le martinet disposé au fond de la malle de mon véhicule avec le matériel informatique et les achats de la semaine.

 

Dans le feu de l’action
de la première épreuve

De retour à mon domicile je me préparai un repas à la hâte et le pris tout aussi rapidement pour commencer à me familiariser avec l’utilisation du scanner et de la webcam. L’utilisation du scanner était très intuitive, je parvins sans difficulté à scanner les deux faces de ma carte d’identité. Je nommai les fichiers correspondants : CNIsoumiseNatacha-1 et CNIsoumiseNatacha-2. L’installation de la webcam fut un peu plus longue mais je m’en sortis sans grosse difficulté. Mes premiers essais de tournage de petits films sur des objets inanimés m’apprirent immédiatement que la tâche était délicate. Il fallait trouver, la bonne distance entre l’objet à filmer et la webcam pour réaliser un cadrage correct, la bonne hauteur et la bonne inclinaison pour placer la webcam par rapport au sujet à filmer. Ces premiers essais de tournage réalisés, il était déjà temps de me diriger vers un sex-shop.

Je garai mon véhicule dans un endroit relativement tranquille et dans la zone proche des trois sex-shops dont l’adresse figurait dans mon agenda. Prenant mon courage à deux mains, je mis à l’intérieur du véhicule, ma robe rouge, ma perruque blonde et mes lunettes de soleil très couvrantes. La partie la plus excitante de mes achats débutait. Quant j’arrivai au premier sex-shop, j’étais extrêmement angoissée. Il était situé dans une ruelle particulièrement sombre où même en plein jour on ne se sent pas rassurée. Je ne fis même pas une tentative pour y pénétrer, ce lieu incarnait à lui tout seul le mot sordide. La vitrine était totalement occultée par un rideau noir et délavé par le peu de soleil qui éclairait le lieu. Je n’osais imaginer l’intérieur de cette boutique douteuse. Ma décision était prise, je me dirigeai immédiatement vers le deuxième sex-shop. Le deuxième sex-shop était dans une rue passante, il avait une véritable vitrine, certes avec bien peu de choses, mais pas un rideau délavé comme le premier. Il était plus engageant, je réunis tout le courage dont je disposais et pénétrai dans la boutique. La patronne avait un très mauvais genre, elle discutait avec trois individus douteux des derniers films qu’elle avait reçus. La conversation volait très bas. On pouvait trouver dans les présentoirs un nombre très important de films sur DVD et je vis au fond de la boutique deux cabines réservées à priori à leur visionnement. Dans mon dos étaient disposés quelques articles du genre sextoy mais je n’osais même pas quitter les films des yeux et me retourner. Voyant mes hésitations dans le choix d’un film la patronne vint me dire : « Nous avons trente cinq genres différents ma petite dame, que recherchez-vous ? » Je répondis : « Rien de bien précis madame. » L’un des individus douteux ajouta : « Elle recherche des sensations fortes. » Un autre poursuivit : « Elle a peut-être besoin qu’on lui mette la main où je pense. » Ils éclatèrent alors de rire tous les trois, contents de leur exploit. J’étais rouge comme une pivoine et ne savais plus où me mettre. La patronne poursuivit : « Vous n’êtes pas une cliente habituelle madame, puis-je vous conseiller ? Les trois lascars au comptoir sont forts en paroles mais ce sont de bons bougres, ils ne feraient pas de mal à une mouche. » Je répondis très gênée : « Non merci, je suis trop indécise, je reviendrai une autre fois. » Je quittai alors cette affreuse boutique me promettant de ne jamais y remettre les pieds. Il ne me restait plus qu’une seule cartouche, le troisième sex-shop. J’avais envie de pleurer tellement je me sentais humiliée par les trois lascars. Je savais que cette fois je devais absolument acheter un godemiché, sinon fini le bel espoir d’un séjour très excitant.

Le troisième sex-shop était situé dans une allée couverte entre deux immeubles donnant sur une rue passante, c’était la seule boutique de l’allée. Le simple fait de s’engager dans l’allée couverte impliquait déjà que l’on se rendait au sex-shop. Je fis trois fois le tour du pâté de maisons avant de réunir le courage suffisant de m’engager dans cette allée couverte. Engagée dans l’allée couverte j’arrivai devant la boutique en question. Elle n’avait pas de vitrine, la façade était en béton nu, le seul orifice dans le béton étant une porte vitrée recouverte sur sa face intérieure à l’aide du drap noir. Au moins le drap dans cette allée couverte n’était pas délavé par le soleil et il semblait propre. Angoissée, je réunis toutes les forces qui me restaient et franchis la porte vitrée. La patronne semblait fort sympathique, c’était une petite blonde un peu rondelette, ronde de visage et très accueillante. Elle me dît simplement : « Prenez tout votre temps, je dispose d’un large choix de DVD, de quelques cassettes vidéo et de différents accessoires, je suis convaincue que vous trouverez votre bonheur. » Je commençai par explorer le rayon des DVD. Au moins l’endroit était calme et j’étais seule. Soudain pendant que je faisais mine de m’intéresser à un DVD en manipulant une boîte, un homme entra dans le sex-shop. Il dit bonjour en entrant puis demanda courtoisement à la patronne si elle avait des nouveautés depuis la semaine dernière. Elle vint suivie du client près du rayon des DVD et lui montra les sept nouveautés reçues cette semaine. L’homme choisit rapidement une boîte et la donna à la patronne. En fait comme je le compris à ce moment les boîtes étaient vides. Seul un numéro figurait à l’intérieur et à l’aide de ce numéro, la patronne pouvait très rapidement trouver sous son comptoir dans une série de tiroirs le DVD recherché. Elle le remit au client qui gagna une cabine de visionnement située au fond du magasin. De nouveau seule dans la boutique je pris mon courage à deux mains et me dirigeai vers le rayon des sextoy situé à l’entrée de la boutique à côté des livres et revues. Je vis immédiatement plusieurs articles intéressants. Un godemiché de taille « humaine normale » fort réaliste de couleur chair ainsi qu’une main de femme de taille « humaine normale » de couleur noire dont les cinq doigts se regroupaient au niveau de leur dernière phalange attirèrent toute mon attention. Je me lançai et demandai à la patronne : « Mon ami est parti pour six mois travailler à l’étranger et pour son anniversaire je souhaite lui envoyer par internet un petit film de moi utilisant un sextoy, je suis totalement débutante en la matière et son anniversaire arrive ce soir, que me conseillez-vous madame ? » Elle me répondit très gentiment : « Vous avez une charmante idée pour l’anniversaire de votre ami, je suis convaincue qu’il va apprécier votre film, je vous conseille pour débuter un godemiché de taille réaliste comme celui-ci. » Elle me montra le godemiché sur lequel j’avais flashé. Je saisis la balle au bon et dis immédiatement : « Je vais suivre votre conseil, je le prends. » Elle le décrocha du rayonnage et le mis dans un sac discret après avoir rejoint son comptoir. Je payai mon sextoy et me préparais à quitter le sex-shop fière de mon courage. Quand elle me rendit la monnaie et me tendit le sac contenant le godemiché, elle ajouta : « Quand vous aurez pris de l’assurance je vous conseille la main de fisting que vous pouvez voir derrière vous, c’est une main pour débutante. Plus tard quand vous serez une habituée, je pourrai vous commander un bras avec le poing fermé de fisting et si vous devenez comme moi une experte, je pourrai vous procurer une jambe avec un pied de fisting, depuis que j’utilise ce pied et cette jambe, j’en suis folle. » Visiblement la patronne quoique fort gentille n’avait pas sa langue dans sa poche, j’étais certaine qu’elle n’avait pas cru un traître mot de l’histoire de mon ami. Elle semblait douée en psychologie et capable de donner des conseils éclairés par sa propre expérience. Je pris le sac qu’elle me tendait sans rien répondre, puis quittai la boutique en lui disant : « Au revoir madame et merci pour vos conseils. » Une fois à l’extérieur du sex-shop, dans l’allée couverte je faillis m’évanouir. Tout ce que je venais de vivre et d’entendre m’avait coupé les jambes. Je dus me trainer au bord du malaise jusqu’à mon véhicule.

Dans mon véhicule il me fallut cinq bonnes minutes pour reprendre mes esprits et cinq autres bonnes minutes pour remettre mon déguisement dans mon sac. Une fois de retour à mon domicile je me préparai un repas solide pour avoir les forces d’affronter mon épreuve et la réussir brillamment avant les fatidiques 22 h 00. Il était déjà 19 h 00, je devais rédiger ma lettre de motivation d’une seule traite, je n’aurais pas de si tôt une deuxième chance. Je saisis immédiatement sur mon ordinateur la lettre suivante :

Soumise Natacha le 22 mars 2009

WWWWW

ETABLISSEMENT DE DRESSAGE XXX

Chambre n° YYY

Madame la Directrice,

J’ai profité de ma seule et unique permission de sortie pendant le séjour de six mois que j’effectue à l’établissement de dressage XXX. J’ai rédigé cette lettre avec franchise et concision pour vous présenter mes attentes sans vous faire perdre inutilement votre temps si précieux. Je suis actuellement dans un établissement de dressage à la demande de mon amant pour un séjour de six mois afin que l’on m’apprenne les bonnes manières. En effet une de ses relations lui a rapporté des faits de racolage actif me concernant. Je ne peux nier car il m’a surprise en flagrant délit. Je suis donc dans cet établissement chaque nuit en semaine le lundi, mardi, mercredi et jeudi soir de 21 h 00 à 5 h 00 et le weekend du samedi 12 h 00 au lundi matin 5 h 00. Une soumise m’a indiqué que les conditions de séjour dans l’établissement de dressage que vous dirigez Madame la Directrice sont très difficiles et que le règlement y est très strict. Elle m’a dit également que tout manquement au règlement de cet établissement de dressage est puni d’un châtiment corporel et d’une humiliation. Cependant je sais aussi que vous êtes juste Madame la Directrice et que vous ne punissez pas sans raison. Or le directeur de l’établissement dressage où je séjourne actuellement abuse de son autorité. Chaque samedi soir il désigne au hasard deux soumises. Les soumises désignées au hasard ont la tête recouverte d’une cagoule et sont conduites par des gardiens au deuxième sous-sol de l’établissement de dressage dans une pièce insonorisée. Dans cette pièce elles sont tabassées et violées toute la nuit par les gardiens en question. Le but de ce traitement est de rendre les soumises travailleuses et obéissantes. Le lendemain matin l’épouse du directeur choisi l’une des deux soumises qui sont devenues travailleuses et obéissantes malgré elles. Elle se sert de cette soumise pendant une journée entière comme esclave, elle lui fait faire tous ses travaux domestiques en la battant. Elle se sert aussi de ses trois orifices naturels dans les pires conditions que vous puissiez imaginer. J’ai déjà été désignée trois fois pour passer la nuit du samedi soir au deuxième sous-sol et choisie deux fois par l’épouse du directeur pour la servir comme esclave. Pour échapper à cet enfer, je souhaite être transférée le plus rapidement possible dans l’établissement de dressage que vous dirigez Madame la Directrice. Pour vous prouver ma motivation, je joins à cette lettre deux petits films réalisés ce jour de mon unique permission à votre attention. Je vous promets si vous acceptez mon transfert dans votre établissement une obéissance totale.

Dans l’attente d’une réponse, je vous prie de bien vouloir agréer, Madame la Directrice, mes salutations les plus respectueuses.

Soumise Natacha

Pour le premier film devant traiter de l’utilisation de mon instrument de punition préféré, au cas particulier de l’utilisation d’un martinet, je devais choisir rapidement un scénario. Mon scénario en tête je le mis immédiatement en application. Je préparai l’accessoire suivant, un support en carton sur lequel je pouvais fixer une feuille de papier destinée à être filmée par la webcam. Sur une feuille de papier j’écrivis de ma plus belle écriture le titre et l’introduction du premier film :

CORRECTION DE LA SOUMISE NATACHA

La soumise Natacha n’a pas respecté à la lettre les ordres de Madame la Directrice de l’établissement de dressage. Madame la Directrice lui a ordonné de s’administrer une bonne correction devant une webcam. Si la correction n’est pas suffisamment sévère, la soumise Natacha sera envoyée dans une chambre sans le moindre confort.

Il me fallait maintenant me mettre dans la peau de la soumise Natacha qui devait se punir sévèrement afin d’éviter de croupir dans une chambre sans le moindre confort. Je me déshabillai complètement, puis je mis en place ma queue de cheval. J’enfilai en toute hâte un porte-jarretelles noir, des bas noirs à résille et les escarpins que j’avais utilisés hier au soir sous les ordres de Madame la Directrice. Je mis un soutien-gorge noir dans lequel je fis tenir entre mes deux seins le martinet acheté le matin même. Après les essais effectués entre l’achat du martinet et celui plus mouvementé du godemiché, je savais que la webcam était positionnée pour filmer tout ce qui se passerait sur le buffet de ma cuisine. Je mis en place le carton où figurait le titre du film et son introduction sur mon buffet de cuisine. Puis hors du champ de la webcam je débutai le tournage d’une pression sur le bouton de la souris. Après quelques secondes je retirai le carton et m’allongeai sur le buffet de cuisine, les jambes écartées et le sexe face à la webcam. Je retirai le martinet de son écrin entre mes seins et commençai sans plus attendre à me fouetter vigoureusement le ventre avec les lanières. Madame la Directrice aurait ainsi une vue sur mon pubis, ma chatte poilue et mon cul. Quand mon ventre fut bien rouge je retirai mon soutien-gorge et continuai par une volée de coups sur chacun de mes seins puis sur la poitrine dans son ensemble. Sous la douleur je devais serrer les dents. Je me mis ensuite à quatre pattes sur le buffet les genoux écartés au maximum, le cul orienté vers la webcam mais sans tomber du buffet. Je me fouettai alors longuement les fesses puis l’arrière des cuisses. J’enlevai alors langoureusement mes talons aiguilles puis mes bas couchée sur le buffet, les jambes en l’air. Je me remis à quatre pattes sur le buffet et m’administrai alors une sérieuse correction sur la plante des pieds, d’abord avec les lanières du martinet puis pour finir avec le manche en bois. J’exposai pour finir en gros plan devant la webcam le résultat de ma correction : traces sur mon ventre, mon sein gauche, mon sein droit, mes fesses, l’arrière de mes cuisses et sur mes pieds douloureusement fouettés puis battus avec le manche du martinet. Enfin sortant du champ de la webcam je mis fin au tournage du premier film d’un nouveau clic sur la souris.

Tout en reprenant mon souffle et mes esprits je préparai la feuille ou figurerait le nom et la présentation du second film :

RECOMPENSE DE LA SOUMISE NATACHA

La soumise Natacha a respecté à la lettre les ordres de Madame la Directrice de l’établissement de dressage. Madame la Directrice lui a permis dans son infinie bonté de se donner du plaisir devant une webcam. Si la séance plaisir n’est pas suffisamment érotique, la soumise Natacha sera privée de douche pendant une semaine entière.

Il me fallait maintenant me mettre dans la peau de la soumise Natacha qui devait se donner du plaisir de manière très érotique pour éviter de puer comme une chienne pendant une semaine. Je me lubrifiai copieusement le vagin et l’anus avec du gel. Je lubrifiai également copieusement le godemiché acheté au cours de l’après midi. Je posai le godemiché au milieu du buffet de cuisine et posai devant le godemiché le carton portant le titre du deuxième film. Je retirai aussi les escarpins, pour ce deuxième film je ne porterais que le soutien-gorge, le porte-jarretelles et les bas à résille noirs. Hors du champ de la webcam je débutai le tournage du second film. Après quelques secondes je retirai le carton et allongée sur le buffet, je m’empalai la chatte immédiatement à l’aide du godemiché tout en écartant les cuisses au maximum face à la webcam. J’étais allongée sur le buffet et j’agitais le godemiché dans ma chatte tout en me caressant les seins et les tétons à travers mon soutien gorge. Puis je m’enfonçai le cul légèrement sur le godemiché tout en écartant les cuisses face à la webcam. Dans cette position particulièrement indécente, Madame la Directrice pourrait de nouveau contempler ma toison pubienne bien fournie. Puis je me mis à quatre pattes sur le buffet, le cul tourné vers la webcam et me défonçai alors copieusement la chatte puis ensuite le cul avec le godemiché. Je retirai ensuite le godemiché et terminai ce second film par une gros plan de ma chatte et de mon cul tous deux biens ouverts et affamés. Sortant du champ de la webcam je mis fin au tournage du second film.

Je visionnai les deux films après m’être douchée, mise en robe de chambre et avoir rangé mon petit matériel de punition et de plaisir. La qualité des deux films n’était pas extraordinaire mais les deux scénarios me plaisaient et on pouvait y voir ma bonne volonté. Je nommai ces deux films : PUNITIONsoumiseNatacha-1 et RECOMPENSEsoumiseNatacha-1. Je me rendis compte en visionnant les films une deuxième fois que sur le deuxième film Madame la Directrice pourrait contempler de nouveaux les horribles marques, visibles à travers mes bas à résille, que le manche du martinet avait laissées sur mes pieds douloureusement battus. J’envoyai ensuite ma lettre de motivation, les quatre fichiers en pièces jointes ainsi que les photographies à l’adresse mail de la société EUROLOISIRS. Tous ces événements m’avaient épuisée, je dormis profondément cette nuit ainsi qu’une bonne partie du lendemain. Ma tension et mon angoisse étaient enfin retombées, je serais au calme et détendue jusqu’au moment de ma deuxième épreuve, du moins c’est ce que je pensais pendant la fin de ce week-end.

 

Petit coup d’accélérateur

Le dimanche se passa dans le plus grand calme. Je fis un peu de ménage, commençai la lecture d’un roman et me reposai. Je profitais sans le savoir de mon dernier ‘‘dimanche libre’’. Ma journée de travail du lundi se passa pour le mieux. J’avais la tête à mon travail et j’espérais de temps à autre recevoir prochainement un mail de la part de Madame la Directrice. Contrairement aux premiers appels téléphoniques de Madame la Directrice qui mirent une semaine puis deux longs mois avant de se réaliser, son premier mail m’attendait déjà dès le lundi 24 mars 2009 au soir à mon retour du travail. En fait je vis en l’ouvrant qu’il avait été envoyé dès le lundi matin à 9 h 04. Le contenu du mail était court et brutal : « Soumise Natacha envoie moi ton numéro de portable avant ce soir 22 h 00 et laisse le en permanence en marche. Je dois pouvoir te contacter 24 h 00 sur 24. » L’ordre de Madame la Directrice était clair et sans appel. Je lui transmis donc sans attendre le mail suivant :

Soumise Natacha

WWWWW le 24 mars 2009

ETABLISSEMENT DE DRESSAGE XXX

Chambre n° YYY

portable : zz zz zz zz zz

Madame la Directrice,

Vous pouvez Madame la Directrice me contacter à toute heure, je ferai tout mon possible pour satisfaire le moindre de vos désirs.

Dans l’attente de vos instructions, je vous prie de bien vouloir agréer, Madame la Directrice, mes salutations les plus respectueuses.

Soumise Natacha

Moins d’une heure après l’envoi du mail à 20 h 27 mon téléphone portable sonnait. A peine avais-je décroché que Madame la Directrice me demanda sans plus attendre : « As-tu une robe ras la chatte que tu puisses enlever rapidement et des talons aiguilles soumise Natacha ? » Ma réponse fut : « Oui j’ai une robe noire très courte et des talons aiguilles Madame la Directrice. » L’ordre fusa alors sur un ton sans appel : « En porte jarretelles, bas résille, talons aiguilles et en robe ras la chatte. Vas te faire photographier dans une rue passante par des inconnus deux fois avec ta robe et deux fois sans ta robe. Je veux les quatre photographies sur mon bureau dans une heure. » Elle raccrocha immédiatement. J’étais tétanisée mais je n’avais plus le choix, si je voulais participer à ces vacances érotiques, je devais passer par les quatre volontés de Madame la Directrice. Cette garce profitait honteusement de la situation. Je rechargeai sur le champ les accumulateurs de mon appareil photographique numérique. Il faisait déjà nuit, les accumulateurs devaient être chargés pour activer le flash. Pendant cette charge je me déshabillai complètement et mis à la hâte mon porte jarretelles noir mes bas à résille noirs ainsi que ma robe noire et très courte. Après avoir fixé rapidement les chaussures exigées par Madame la Directrice, je pris mon appareil photo et me dirigeai en trottinant avec mes talons aiguilles dont le port n’était pas du tout habituel chez moi vers une rue passante.

Il me fallait d’urgence avoir le courage de demander à un inconnu de bien vouloir me photographier. Je n’avais en tout et pour tout qu’une heure pour transmettre les photographies à Madame la Directrice. Ce n’était pas une mince affaire et le temps jouait contre moi. Je rencontrai assez rapidement un couple qui sortait d’une brasserie, les deux amoureux devaient se diriger vers leur voiture. Je me lançai instinctivement ainsi : « Pourriez-vous m’aider, je veux faire une surprise à mon ami qui est parti travailler plusieurs mois à l’étranger. Je veux lui envoyer des photographies de moi par mail pour qu’il ne m’oublie pas. » Le couple s’arrêta près de moi. Je confiai le plus naturellement du monde mon appareil numérique à l’homme et lui demandai de faire deux photographies de moi, une où l’on me verrait au dessus des genoux et une autre où l’on me verrait en totalité des pieds à la tête. Tout en parlant je me dirigeai vers une arrière cour située derrière la brasserie. Pour se rendre dans cette arrière cour il fallait passer sous un porche. Dès que nous fûmes sous le porche je demandai à l’homme de prendre les photographies. Il prit les deux photographies de moi assez rapidement sous le porche et me rendit l’appareil. A l’abri sous ce porche je me lançai, je lui demandai alors : « Je voudrais aussi lui envoyer deux photographies, une au dessus des genoux et une des pieds à la tête, mais cette fois sans ma robe. » Ceci dit, sans lui laisser le temps de réfléchir je lui mis mon appareil dans les mains, reculai et posai ma robe à terre. Il allait j’en suis certaine prendre les deux photographies. Soudain la femme se mit à hurler : « Tu ne vois pas que c’est une nymphomane ! Elle te drague cette salope. Pose l’appareil de cette morue à terre et partons mon chéri. Et toi la morue ramasse ton appareil et tire-toi avant que je ne te crêpe le chignon. » Autant vous dire qu’après avoir remis rapidement ma robe noire très courte, je ramassai prestement l’appareil et je m’éloignai au plus vite de cette furie folle de jalousie.

Je décidai alors de demander le service coquin dont j’avais absolument besoin à un homme ou des hommes non accompagnés de telles furies. Me dirigeant vers la prochaine brasserie de cette rue passante, je vis trois jeunes hommes sortir de la brasserie en question. Ils n’avaient pas mauvais genre et la rue était très passante, je décidai de tenter ma chance, de toutes façon je devais faire vite si je voulais satisfaire l’ordre de Madame la Directrice. Je me lançai : « Messieurs, pourriez-vous me rendre un petit service un peu coquin ? » Le moins timide des trois jeunes hommes me répondit : « Quel genre de service coquin madame ? » Je sautai sur l’occasion : « Pour envoyer un mail un peu chaud à mon ami qui travaille en ce moment à l’étranger je veux joindre au mail des photographies coquines de moi dans le quartier pour qu’il ne m’oublie pas. Je voudrais que vous preniez plusieurs photographies de moi sans ma robe avec mon appareil numérique. L’un de vous trois messieurs se sent-il l’âme d’un photographe de charme amateur ? » Un autre des jeunes hommes, pas le moins timide mais certainement le plus vicieux me répondit : « Et que nous donnerez-vous comme récompense coquine pour ce service madame ? » Cueillie à froid j’eus cependant le courage de répliquer : « Celui qui me prendra en photo aura le droit de me caresser les deux seins pendant une minute. » J’avais fait mouche, ils se disputaient déjà pour savoir lequel d’entre eux allait me photographier, j’étais sur le point de gagner. La dispute n’en finissait plus je devais intervenir au plus vite. Je dis alors : « Messieurs j’ai pris ma décision c’est lui qui va me prendre en photo. » Et je pointai le doigt vers le moins timide des trois en lui tendant mon appareil de l’autre main. Dès qu’il eut l’appareil en main je repris le contrôle de la situation et leur indiquai : « Suivez mois, nous allons réaliser ces photographies sous un porche pas très loin d’ici. » Je me dirigeai alors vers le porche en question. Ils me suivirent tous trois en plaisantant. Le jeune homme à qui l’avais confié mon appareil pris quatre photographies de moi, ma robe posée à terre. Je récupérai alors mon appareil et poursuivis : « Jeune homme venez prendre votre récompense vous pouvez me peloter les seins pendant une minute. Et vous deux rincez vous l’œil à deux mètre de moi de part et d’autre pendant qu’il me pelotera. » Le jeune homme ne se fit pas attendre et pendant qu’il me pelotait vigoureusement ses deux copains se rinçaient joyeusement les yeux en matant ma poitrine gonflée sous les caresses. Je prenais un plaisir fou à ces caresses vigoureuses sur ma poitrine en pleine nuit sous un porche en ville et je confesse avoir attendu bien plus d’une minute avant de poursuivre profitant de cette aubaine et de ces jeunes hommes prêts à rendre service : « Messieurs, ce sera tout pour ce soir, je vous remercie pour ce service coquin. Au fait pourriez-vous me donner un numéro de téléphone portable où je pourrais vous joindre en cas de besoin pour une petite soirée coquine ? » Le troisième larron cette fois se manifesta : « Tenez madame. » Il me tendit un petit morceau de papier avec son numéro de portable et la mention « soirée coquine avec trois copains » ; il ajouta : « En cas de besoin n’hésitez pas à me contacter je me charge de chercher mes deux potes avec ma voiture et on vous rendra le petit service dont vous aurez besoin. » Je mis alors fin à la conversation : « Encore merci messieurs, la France n’est pas perdue, il y a encore des hommes serviables, en cas de besoin je n’hésiterai pas à vous contacter, à plus tard. »

Je rentrai dans la foulée à mon domicile en tournant deux fois autour du pâté de maisons pour m’assurer que je n’étais pas suivie. Puis j’envoyai sans tarder les quatre photographies exigées par Madame la Directrice. Je parvins à le faire seulement trois minutes avant la fin du temps imparti soit à 21 h 24. Je n’avais pas pris le temps, temps dont je ne disposais pas, de rédiger un mail d’accompagnement et de donner un nom aux quatre photographies. Ces événements du début de soirée m’avaient épuisée. Mais j’avais maintenant un atout dans mon jeu dont Madame la Directrice ignorait l’existence, les trois jeunes hommes, le moins timide, le plus pervers et celui qui avait une voiture. Tout ceci m’avait mise dans un état indescriptible, la mouille coulait de ma chatte sous ma robe. Cette garce de Directrice m’avait procuré un plaisir fou en m’obligeant à aller me faire photographier sans ma robe en pleine nuit par des inconnus. J’étais maintenant absolument décidée à tout faire pour réussir la deuxième épreuve et passer des vacances que je devinais inoubliables sous son emprise.