Lire un extrait de : Aurore soumise belge et fière de l'être

26/09/2015 19:56

 

 

Paul Juste-Montlouis

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Aurore soumise belge et fière de l'être

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ce livre a été publié sur www.bookelis.com

 

ISBN : 979 – 10 – 227 – 0273 – 7

 

© Paul Juste-Montlouis

 

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Premiers contacts entre Aurore et son maître

 

 

 

 

 

Tout a commencé le vingt et un juin deux mille quatorze, une femme me contacta sur un site pour une discussion, elle ne savait pas encore qu'elle était de nature soumise ni qu'elle prenait contact avec un maître. Son profil indiquait qu'elle résidait en France, c'était un bon début et cela facilitait grandement la discussion. Après quelques minutes de discussion, j'étais déjà certain qu'elle ne résidait pas en France mais en Belgique car elle avait employé quelques mots qui ne laissaient aucun doute à ce sujet. Je lui fis remarquer qu'elle habitait vraisemblablement en Belgique et elle le reconnut. Puis nous passâmes enfin aux choses sérieuses, elle me fit savoir qu'elle était nouvelle sur le site, ce que je savais déjà car je ne l'avais jamais vue. C'était une femme de quarante-deux ans dont le mari ne prenait plus ou plus assez soin. Au moins les choses étaient claires dès le début. Ne perdant jamais mon temps je lui demandai si par hasard elle était de nature soumise ou voulait tester sa nature. Elle me répondit qu'elle était de nature curieuse et disposée à faire de nouvelles expériences. Je lui fis savoir que dans ces conditions elle avait frappé à la bonne porte et qu'avec moi elle allait découvrir de nouveaux horizons. Je lui fis découvrir ce jour le plaisir d'obéir à son maître. Elle dut se mettre à poil puis enfiler des bas résille noirs et des chaussures à talon sexy dont la semelle était en cuir, elle crut bon de me préciser ce détail ce qui ne tomba pas dans l'oreille d'un sourd. Je lui fis entourer ses deux tétons puis son clitoris avec des petits élastiques. La malheureuse les avait trop serrés, elle morfla donc un bon coup en les retirant devant son maître. La prochaine fois si elle revenait, elle les serrerait moins voilà tout ! Je lui demandai ensuite si elle disposait d'un solide martinet, d'une cravache ou de tout autre outils utile à son dressage, elle me répondit en toute innocence qu'elle ne disposait que d'un godemiché, d'un vibromasseur et d'un bouchon anal. Tenant absolument pour son dressage à lui coller une rouste, je lui ordonnai de tenir à ma disposition un de ses deux escarpins dont la semelle était en cuir. Elle le défit sans bien comprendre et attendit mes nouveaux ordres. Ils tombèrent dans les secondes qui suivirent : « Mets-toi à quatre pattes soumise, claque-toi le cul quarante fois avec la semelle de ton escarpin, vingt fois sur chacune de tes fesses, suffisamment fort pour en avoir les larmes aux yeux soumise. » Prise par surprise si je puis m'exprimer ainsi, elle se les administra sans réfléchir. Elle me fit aussitôt savoir qu'elle avait le cul en feu mais n'avait plus eu la chatte aussi mouillée depuis bien longtemps. Je lui fis savoir que son maître était content de voir un cul si rouge et si chaud et une chatte aussi trempée. Je décidai alors de la récompenser. Je lui ordonnai de rester à quatre pattes puis de sucer son godemiché jusqu'à ce qu'il soit bien trempé de sa bave tout en gémissant très fort. Aurore, car elle se nommait Aurore ne se fit pas prier avant de se livrer à cette nouvelle activité. Je lui ordonnai ensuite de se limer la chatte avec le godemiché mais en se retenant de jouir devant son maître, en effet elle ne le savait pas mais je voulais disposer d'un godemiché bien lubrifié afin de pouvoir tester l'élasticité de son cul de soumise débutante. Quand je jugeai que le godemiché était suffisamment lubrifié, je lui ordonnai : « Lime-toi le cul devant ton maître soumise, et lime le jusqu'à ce que tu jouisses devant lui. Je t'autorise à te pincer et te tordre le clitoris afin que tu ne souffres pas trop du cul, tu vois, je suis bon soumise. » Aurore se mit sans délai à sa nouvelle tâche et jouit devant son maître en moins de quatre minutes. Elle ajouta qu'elle n'avait pas joui aussi fort et aussi vite depuis bien longtemps, je lui confirmai qu'une femme normalement constituée jouit très vite et très fort devant son maître, elle était donc une femme en pleine forme qui méritait bien mieux qu'un mari peu porté sur la chose et je le lui fis savoir.

Aurore vint visiter son maître pour la deuxième fois le vingt-huit juin deux mille quatorze, j'en déduisis qu'elle était bien accrochée à son maître, que cela n'avait pas été une simple passade la semaine dernière. Je lui ordonnai donc de mettre ses bas noirs à résille, ses talons hauts et ses trois élastiques puis de sucer son gode. Cette fois elle serra moins les élastiques, elle était plus expérimentée. Après une ou deux minutes je lui demandai si son gode était bien sucé comme une belle bite et recouvert de salive. Aurore reconnut timidement que le gode était recouvert d'un peu de sa salive. Je lui ordonnai ensuite de se limer le vagin gentiment, en douceur avec le gode et de me confier son vibromasseur afin que je l'examine. En pratique je lui demandai de me le décrire, elle me fit savoir qu'il était rose, d'une vingtaine de centimètres de long, et qu'il disposait d'une molette située à l'extrémité extérieure permettant de régler la vitesse des vibrations. Il avait un diamètre de trois centimètres et demi. Je lui ordonnai de régler le vibromasseur à la vitesse moyenne et de le frotter sur son clitoris, je lui ordonnai aussi de se ravager gentiment le vagin avec son gode tout en essayant de résister devant son maître. Puis quand elle finirait par jouir, de le lui faire savoir en criant devant lui. Avec ces deux gadgets érotiques en action je fis remarquer à la soumise Aurore qu'une femme normalement constituée ne résiste en général pas plus de trente secondes avant de jouir si en plus on lui bouffe un téton et si on lui pince l'autre. Aurore me fit savoir que ses tétons étaient très sensibles en ce moment à cause des élastiques, je lui fis savoir que j'étais certain qu'elle allait bientôt exploser. Elle admit dans un gémissement que c'était le cas, je lui fis savoir que si elle avait disposé d'un martinet, je lui en aurais mis dix coups bien appuyés sur les fesses et que cela serait réglé, elle jouirait bruyamment et réveillerait ses voisins. Aurore me fit savoir que son orgasme approchait et dans les secondes qui suivirent elle se mit à crier. Je lui laissai à peine le temps de reprendre son souffle et lui demandai s'il avait été petit, moyen ou énorme. Elle me répondit : « Putain, je dois filer et je reviens. » Je répondis : « Allez-vous laver, vous coulez comme une fontaine ! Je crois que cet orgasme était de derrière les fagots. » Aurore me fit savoir qu'elle était allée chercher une essuie. J'ajoutai : « Une serviette en français, je connaissais ces petites différences de vocabulaire à cause de Maude, une amie belge de Mons mais qui travaillait maintenant à Cologne. » Aurore précisa : « Oui c'est vrai nous n'avons pas tout à fait le même vocabulaire en Belgique. » Je lui demandai à nouveau si son orgasme avait été violent, elle admit qu'il avait été fort et rapide car elle était déjà excitée à l'idée de venir voir son maître. Je lui confirmai que le fait d'être avec son maître était primordial au niveau de son excitation. Aurore avoua qu'elle attendait ce moment avec son maître depuis une semaine et que le fait d'obéir à un inconnu l'excitait également. Je lui demandai alors si elle allait parfois au supermarché faire ses courses seules, elle me répondit que c'était souvent le cas. Je lui ordonnai donc d'acheter dès qu'elle en aurait l'occasion un gros collier de chien en cuir mais à sa taille et de préférence noir ainsi qu'un martinet pour dresser une chienne de quarante-deux ans. Je lui appris qu'elle trouverait tout ceci au rayon dédié aux animaux de compagnie de son supermarché habituel. Elle compris tout de suite qui serait la chienne à dresser et ajouta qu'elle devrait tout cacher. Je lui conseillai aussi de se procurer une gamelle en inox et de bien la cacher. Je lui fis savoir que j'avais hâte de la faire boire et manger dans sa gamelle. Je lui ordonnai de bien mouiller son godemiché au fond de son vagin et de me prévenir dès qu'il serait à point ! Aurore me répondit en toute innocence : «  Mouillée comme je le suis, il va entrer tout seul ! » Je lui ordonnai de sucer en même temps son bouchon anal, ceci devant l'empêcher de crier, Aurore me demanda naïvement si je voulais qu'elle jouisse encore. Je répondis que puisque le godemiché était si bien mouillé, elle devait se l'enfoncer d'un coup de quinze centimètres dans le cul et s'amuser à le faire tourner et à faire des aller et retours. J'ajoutai qu'elle pouvait jouir autant de fois qu'elle le voulait devant son maître et que mon record absolu était de dix orgasmes en une heure avec une russe. J'admis que la fameuse russe avait du porter deux longues semaines une ceinture de chasteté avant ce test et qu'elle était jeune et très motivée. Je reconnus aussi qu'après ses dix orgasmes elle était un peu fatiguée, mais que c'était la fille d'un ancien officier du KGB et qu'elle était très solide. Je demandai à la soumise Aurore si son anus appréciait ce petit jeu. Aurore répondit : « Les quinze centimètres sont entrés maître et je commence à le faire tourner. » Aurore m'apprit que son mari était parti travailler tôt comme souvent le samedi matin ce qui tombait fort bien ! Mais par contre elle ne devait pas crier son plaisir trop fort car sa fille dormait encore. Je demandai à Aurore si elle était dans le bureau de son mari et si la porte fermait à clé, elle me répondit qu'elle était au salon et qu'elle allait se déplacer pour rejoindre la buanderie car cette pièce disposait d'une porte fermant à clé. Je lui répondis : « Parfait à tout de suite et je vous sodomiserai sauvagement sur la machine à laver. » Aurore m'apprit qu'elle venait d'ouvrir un peu la fenêtre de la buanderie, comme cela elle pourrait entendre son homme revenir. Je lui fis remarquer que la buanderie était une pièce très érotique, on pouvait y bâillonner une soumise avec un slip ou des chaussettes sales et la prendre en silence ainsi sur la machine à laver. Aurore me fit savoir que son portable était posé sur le sèche-linge et qu'elle était debout penchée sur la machine à laver, les fesses présentées à son maître. Je lui ordonnais donc de se sodomiser joyeusement avec son gros godemiché et de se travailler le clitoris de son autre main munie d'un petit vibromasseur. Aurore se mit à la tâche mais supplia rapidement son maître. En effet, j'avais oublié de lui faire retirer les élastiques qui serraient ses tétons et son clitoris ! Je lui donnai donc la permission de les retirer. Aurore dit : « Merci. » Je la repris sur le champ : « On dit merci maître ! » Aurore se plaignit de la douleur ressentie par ses tétons et son clitoris mais elle commença à travailler son clitoris et son anus. Je lui fit savoir qu'au contraire elle avait énormément de chance car je ne disposais pas encore d'un solide martinet ! Aurore précisa qu'elle se frottait doucement le clitoris avec son petit vibromasseur car il était encore douloureux, j'ajoutai : « Une soumise rapide, efficace et obéissante cette Aurore ! » Je lui fis savoir que le roman relatant sa soumission devrait bien se vendre, en effet les lecteurs et lectrices banderont tous dès la deuxième page voire la première du roman. Je lui fis savoir que je la contemplais tandis qu'elle faisait un usage intensif de ses deux gadgets érotiques. J'ajoutai qu'à son age le deuxième orgasme pouvait être plus long à arriver, mais qu'en présence de son maître cela pouvait accélérer. J'eus à peine le temps d'exprimer cette remarque que j'entendis : « Ho, hou, la vache! » Le doute n'était pas possible, elle l'avait senti passé ! Aurore tu es une vraie soumise, pas une jeunette qui veut se payer une petite frayeur avec un maître, mais une vraie femme qui vient de jouir deux fois devant son maître. Aurore me dit : « Vous avez trouvé cela long, je ne me souviens plus d'avoir joui deux fois d'affilée, mes jambes sont en compote, elles tremblent. » Je fis remarquer à la soumise Aurore qu'il était possible qu'elle n'ait pas joui deux fois d'affilée avec son époux depuis longtemps, mais là elle était avec son maître et cela changeait tout, un homme un vrai qui aime baiser et faire jouir une femme. Aurore reconnu que le nouveau, l'inconnu l'excitaient. Je lui fis savoir que j'avais envie de la punir un peu pour sa lubricité et je la fis donc se mettre à quatre pattes et tenir à ma disposition un chaussure avec une semelle solide. Aurore me fit remarquer qu'elle se voyait à quatre pattes en bas et en talons aiguilles, avec le cul à l'air dans un miroir et que cela faisait un peu pute. Aurore me demanda si un des escarpins qu'elle avait aux pieds conviendrait. Je lui demandai si la semelle était en cuir ou en caoutchouc, elle me confirma que la semelle était en cuir. C'était parfait, je lui ordonnai donc de s'administrer vingt coups bien appuyés sur chacune de ses fesses avec la semelle en cuir de son escarpin si gentiment prêté à son maître. Je lui indiquai que son cul allait bouillir, elle me fit savoir qu'elle commençait à exécuter mes ordres. Je lui dis qu'elle n'imaginait pas il y a deux semaines avoir un maître et lui obéir à ce point. Aurore admit : « Non maître. » La soumise me fit savoir que ses grosses fesses piquaient et étaient toutes rouges et pourtant il y avait de la place, je lui ordonnai de caresser ses fesses. Aurore me dit que sa mouille coulait et que cela la piquait franchement, je lui répondis que ce matin devant son maître elle était une vraie chienne lubrique. Je lui dis que son maître devait sévir et lui ordonnai de se mettre dix bons coups avec la semelle en cuir de son escarpin sur chacun de ses seins, cinq sur le sein et cinq sous le sein. Aurore me demanda dans quelle position elle devait s'administrer cette raclée, je la fis se mettre à genoux devant son maître. Elle commença par les coups sur ses seins puis poursuivit par ceux sous ses seins, elle me confirma que ses seins étaient rouges et que cela la piquait aussi à cet endroit. Il était huit heures vingt-cinq minutes, je lui ordonnai de mettre son bouchon anal bien au fond de son cul et de le garder le plus longtemps possible, ce serait sa mission de ce jour. Aurore me dit que cette après-midi elle irait faire ses courses, je lui dis de ne pas oublier de faire l'acquisition de son collier de chienne et d'un martinet. Elle me confirma qu'elle n'oublierait pas cet achat un peu particulier, je lui dis que j'étais très fier de ma nouvelle soumise nommée Aurore. Elle me promit de tenter de garder le bouchon anal plus longtemps que lors de sa dernière mission, je lui fis savoir que je serais avec elle en pensée au cours de cette mission dans son supermarché habituel. Elle demanda à son maître la tenue qu'elle devrait porter pour lui ce jour, je choisis une jupe courte et un chemisier assez transparent, elle choisit des bas noirs fins avec des dessins en dentelle sur l'arrière. Je fis savoir à Aurore que je souhaitais encore examiner son corps de soumise et lui demandai si elle avait des gants solides en caoutchouc pour le ménage ou la vaisselle ou des gants fins en latex, elle partit en courant et revint avec des gants fins blancs en latex. Décidément cette soumise devançait les ordres de son maître. Je lui fis mettre les gants afin de pouvoir débuter l'examen à l'aide de ses mains. Sous mes ordres elle commença à se malaxer pincer et pétrir les seins au point d'en gémir. Elle le fit sans retenue, puis elle reçut l'ordre de le faire à ses tétons. Aurore crut bon de me faire savoir que ses tétons pointaient fort ce dont je ne doutais absolument pas. Elle cria et je lui ordonnai de s'administrer une bonne fessée sur les fesses avec les gants afin de la calmer. Elle se pencha en avant et s'appuya sur sa machine à laver puis s'administra une sévère raclée au point de me supplier de la faire arrêter ! Je lui ordonnai de cesser et elle remercia son maître. Je la fis ensuite s'habiller avec sa jupe la plus courte, ses bas en dentelle noirs et son chemisier le plus transparent. Je lui ordonnai de penser au collier et au martinet qu'elle allait acheter cet après-midi dans cette tenue, ainsi elle mouillerait pour son maître. Aurore me dit que son mari arrivait, ouf elle était un peu habillée, je lui dis de se calmer rapidement et d'aller vaquer à son ménage